MAT-CH-2400939 - V1.0 - 05/2024
MAT-CH-2400939 - V1.0 - 05/2024
um auf eine externe Website zu gelangen
Le diabète de type 1 est provoqué par une réaction auto-immune au cours de laquelle le système immunitaire de l’organisme attaque les cellules du pancréas qui produisent l’insuline.
L’organisme devient alors incapable de produire l’insuline dont il a besoin, ou alors en quantité très faible, avec pour conséquence une déficience partielle ou totale en insuline. Les causes exactes de l’apparition du diabète de type 1 demeurent inconnues. On ne sait pas ce qui déclenche cette attaque. Il existe une prédisposition génétique (familiale) mais les autres causes sont mal connues. Certains facteurs liés à l’environnement auraient également un rôle.
Les symptômes du diabète de type 1 sont multiples, et voici les principaux :
• Soif excessive et bouche sèche
• Perte de poids soudaine
• Urines abondantes
• Manque d'énergie, fatigue
• Incontinence nocturne
• Faim constante
• Vision trouble
Complications
Les risques et les complications possibles sont nombreux lorsque le diabète gestationnel n’est pas bien contrôlé.
Risques pour l’enfant
Risques pour la mère
Prise en charge
Généralement, une alimentation saine ainsi qu’une bonne hygiène de vie (gestion du stress, sommeil adéquat et activité physique) sont suffisantes pour contrôler le diabète de la femme enceinte.
Il peut arriver dans certains cas qu'un traitement à base d'insuline soit parfois nécessaire.
Le diabète de type 1 est provoqué par une réaction auto-immune au cours de laquelle le système immunitaire de l’organisme attaque les cellules du pancréas qui produisent l’insuline.
L’organisme devient alors incapable de produire l’insuline dont il a besoin, ou alors en quantité très faible, avec pour conséquence une déficience partielle ou totale en insuline. Les causes exactes de l’apparition du diabète de type 1 demeurent inconnues. On ne sait pas ce qui déclenche cette attaque. Il existe une prédisposition génétique (familiale) mais les autres causes sont mal connues. Certains facteurs liés à l’environnement auraient également un rôle.
Les symptômes du diabète de type 1 sont multiples, et voici les principaux :
En Suisse, on estime que près de 40 000 personnes sont atteintes de diabète de type 1.
L’incidence du diabète de type 1 est en hausse partout dans le monde, avec toutefois des différences importantes selon les pays, certaines régions enregistrant des taux beaucoup plus élevés que d’autres. Les raisons de cette évolution sont obscures, mais on soupçonne une interaction entre des facteurs génétiques et environnementaux.
Le diabète de type 1 apparaît le plus souvent pendant l’enfance, à l’adolescence ou au début de l’âge adulte.
Der Schwangerschaftsdiabetes betrifft schwangere Frauen. Es handelt sich um einen vor der Schwangerschaft nicht bekannten Diabetes, der erstmals in der Schwangerschaft gegen das Ende des zweiten Trimesters (Schwangerschaftsdrittel) auftritt oder diagnostiziert wird.
In der Mehrheit der Fälle verschwindet der Schwangerschaftsdiabetes nach der Entbindung, aber bei der Mutter besteht das Risiko, in den Jahren nach ihrer Schwangerschaft einen Typ-2-Diabetes zu entwickeln.
In jedem Fall bedeutet der Schwangerschaftsdiabetes ein Risiko sowohl für die Mutter wie auch das Kind. Es ist daher sehr wichtig, ihn unter Kontrolle zu halten und zu behandeln.
In der Schweiz sind schätzungsweise nahezu 11% der schwangeren Frauen von einem Schwangerschaftsdiabetes betroffen.
Der Schwangerschaftsdiabetes ist ein Diabetestyp, der im Allgemeinen schwangere Frauen im zweiten und dritten Trimester (Schwangerschaftsdrittel) betrifft, aber zu jedem Zeitpunkt der Schwangerschaft auftreten kann. Bei manchen Frauen kann ein Diabetes im Verlauf des ersten Trimesters festgestellt werden, jedoch bestand er meistens schon vor der Schwangerschaft, war aber noch nicht diagnostiziert worden.
Die Risikofaktoren für die Entwicklung eines Schwangerschaftsdiabetes sind insbesondere ein fortgeschrittenes Alter der künftigen Mutter, Übergewicht oder Adipositas, eine übermässige Gewichtszunahme während der Schwangerschaft, Fälle von Diabetes in der Familie und eine frühere Totgeburt oder Geburt eines Kindes mit einer angeborenen Anomalie.
Entwicklung und Komplikationen
Es gibt zahlreiche Risiken und mögliche Komplikationen, wenn der Schwangerschaftsdiabetes nicht gut eingestellt ist.
Risiken für das Kind
Risiken für die Mutter
Behandlung
Im Allgemeinen genügen eine gesunde Ernährung sowie eine gute Lebenshygiene (Stressbewältigung, ausreichender Schlaf und körperliche Aktivität), um den Diabetes der Schwangeren unter Kontrolle zu halten.
In manchen Fällen kann eine Behandlung auf der Grundlage von Insulin erforderlich werden.
Le diabète gestationnel concerne les femmes enceintes. C'est un diabète non connu avant la grossesse, survenant ou diagnostiqué pour la première fois pendant la grossesse, vers la fin du 2ème trimestre.
Dans la majorité des cas, il disparaît après l’accouchement, mais la mère devient à risque de développer le diabète de type 2 dans les années qui suivent sa grossesse.
Dans tous les cas, le diabète gestationnel comporte un risque pour la mère comme pour l’enfant. Il est donc primordial de le maîtriser et de le traiter.
En Suisse, on estime que prés de 11% des grossesses sont concernées par le diabète gestationnel .
Le diabète gestationnel est un type de diabète qui affecte généralement les femmes enceintes pendant les deuxième et troisième trimestres, même s’il peut survenir à tout moment pendant la grossesse. Chez certaines femmes, un diabète peut être diagnostiqué au cours du premier trimestre, mais la plupart du temps, il existait alors déjà avant la grossesse mais n’avait pas été diagnostiqué.
Les facteurs de risque du diabète gestationnel sont notamment l’âge avancé de la future maman, le surpoids ou l’obésité, un gain de poids excessif pendant la grossesse, des antécédents familiaux de diabète et des antécédents d’enfant mort-né ou de naissance d’un enfant présentant une anomalie congénitale.
Complications
Les risques et les complications possibles sont nombreux lorsque le diabète gestationnel n’est pas bien contrôlé.
Risques pour l’enfant
• Macrosomie : poids à la naissance supérieur à 4kg
• Hypoglycémie à la naissance
• Risque de blocage lors de la sortie des épaules pendant l’accouchement, ce qui peut engager le pronostic vital de l’enfant
• Risque plus élevé d’obésité, de diabète, d’hypertension et de maladie rénale à l’âge adulte
Risques pour la mère
• Accouchement prématuré du fait d’un surplus de liquide amniotique
• Accouchement par césarienne (à cause, entre autres, du poids du bébé)
• Hypertension de grossesse ou pré-éclampsie (tension artérielle élevée et enflure)
• Risque de développer un diabète de type 2 après la grossesse
Prise en charge
Généralement, une alimentation saine ainsi qu’une bonne hygiène de vie (gestion du stress, sommeil adéquat et activité physique) sont suffisantes pour contrôler le diabète de la femme enceinte.
Il peut arriver dans certains cas qu'un traitement à base d'insuline soit parfois nécessaire.
Le diabète de type 2 est la forme la plus fréquente de diabète : elle représente environ 90% de tous les cas.
Chez certaines personnes diabétiques de type 2, la production d’insuline par les cellules du pancréas est insuffisante. Chez d’autres, l’insuline produite n’accomplit pas bien son travail ; on parle alors de résistance à l’insuline. L'insuline ne peut plus réguler la glycémie et cette résistance épuise progressivement le pancréas qui finit par ne plus assurer une production suffisante d'insuline.
Dans les deux cas, le résultat est une augmentation du taux de sucre dans le sang (glycémie).
Les symptômes du diabète de type 2 sont multiples, et voici les principaux :
• Soif excessive et bouche sèche
• Infections fongiques cutanées récurrentes
• Urines abondantes et fréquentes
• Cicatrisation lente des plaies
• Manque d'énergie, fatigue extrême
• Vision trouble
• Fourmillements ou engourdissement des mains et des pieds
En Suisse, on estime que près de 460 000 personnes sont atteintes de diabète de type 2 (près de 90% des diabétiques).
Le diabète de type 2 touche généralement des adultes âgés de plus de 40 ans. Malheureusement, on constate depuis quelques années qu’il apparaît chez des personnes de plus en plus jeunes, chez des adolescents ou des jeunes adultes, en raison de l’augmentation des taux d’obésité, de l’inactivité physique et de la mauvaise alimentation.
La période avant son diagnostic est souvent longue compte tenu de l’absence de symptômes pendant de nombreuses années. S’il demeure non diagnostiqué pendant une période prolongée, des complications peuvent se développer.
Les causes du diabète de type 2 ne sont pas totalement comprises, mais il existe un lien étroit avec le surpoids et l’obésité, de même qu’avec l’âge, l’ethnicité et les antécédents familiaux.
Parmi les principaux facteurs de risque modifiables, citons une adiposité excessive (obésité), une mauvaise alimentation/nutrition, le sédentarisme, le prédiabète, le tabagisme et des antécédents de diabète gestationnel avec exposition du fœtus à une glycémie élevée pendant la grossesse.
Évolution et complications
Lorsqu’ils ne sont pas correctement gérés, tous les types de diabète peuvent conduire à des complications en différents endroits de l’organisme. Celles-ci peuvent se manifester par des symptômes mais sont souvent silencieuses.
Des taux de glycémie en permanence élevés provoquent des dommages sur plusieurs organes et parties du corps, principalement :
• les reins (insuffisance rénale, néphropathie)
• les yeux (rétinopathie)
• le système nerveux (neuropathie)
• le cœur (infarctus)
• les vaisseaux sanguins (hypertension, artériosclérose, accident vasculaire cérébral [AVC], etc.)
• les pieds (pied diabétique) et les mains
Pendant la grossesse, un diabète mal géré augmente le risque de complications pour la mère et le fœtus.
Avec un contrôle régulier de la glycémie et un traitement individuel adéquat, il est possible de réduire le risque de survenue de ces complications.
Prise en charge
La base de tout traitement du diabète de type 2 est :
• une alimentation saine et équilibrée
• une activité physique
• une perte de poids
Si ces mesures n'apportent aucune amélioration de votre glycémie, le traitement peut être renforcé par des médicaments.
Traitement antidiabétique par voie orale (comprimés)
Un traitement antidiabétique par voie orale (comprimés) est recommandé si le pancréas peut encore produire suffisamment d'insuline. Ce traitement, en stimulant la sécrétion d'insuline dans les cellules bêta du pancréas ou la sensibilité des cellules à l'insuline, va favoriser l'entrée du glucose dans les cellules.
En Suisse, il existe plusieurs classes d’antidiabétiques oraux reposant sur des mécanismes d’action différents, à utiliser seules ou associées entre elles :
• Les biguanides comme la metformine,
• Les sulfonylurées,
• Les thiazolidinediones,
• Les inhibiteurs de DPP-4,
• Les inhibiteurs de la SGLT2
Traitement antidiabétique par injection
Les analogues du GLP-1
Les médicaments à base de GLP-1, appelés « analogues ou agonistes du récepteur au GLP-1 » (GLP-1 RA), peuvent contribuer à améliorer la glycémie dans le cadre du traitement du diabète de type 2.
Ces médicaments imitent ou renforcent la fonction naturelle de l’hormone intestinale GLP-1 présente dans le corps. Tout comme l'hormone naturelle du corps, les GLP-1 RA peuvent également stimuler la sécrétion d’insuline par le pancréas et ainsi réduire la glycémie. Avec un GLP-1 RA, la sécrétion d’insuline est moins stimulée lorsque la glycémie est basse et est plus stimulée lorsque la glycémie est élevée, ce qui est un avantage de ce mécanisme d’action. Par conséquent, le risque d’hypoglycémie avec un traitement à base de GLP-1 est faible. Tout comme l’hormone intestinale naturelle, ce type de médicament ralentit le transit gastro-intestinal et peut ainsi réduire l’appétit. La possibilité de perdre du poids est donc un autre avantage des GLP-1 RA.
Comme l’insuline, les GLP-1 RA sont des médicaments qui sont injectés sous la peau. L’injection est réalisée une fois par jour ou une fois par semaine selon le médicament.
Il est également à noter que les GLP-1 RA ont différents effets sur le profil glycémique. En effet, certains agissent principalement sur la glycémie à jeun, tandis que d’autres agissent sur la glycémie postprandiale (après un repas).
Insulines
Lorsque votre pancréas produit trop peu ou plus du tout d'insuline, ceci malgré une alimentation adaptée et/ou la prise de comprimés antidiabétiques ou d’un GLP-1 RA, la glycémie reste en permanence trop élevée. Ceci peut provoquer des troubles désagréables, mais également des complications dangereuses. Il faut donc faire baisser le taux de sucre dans le sang en prenant de l'insuline. L'insuline est une hormone qui peut uniquement être injectée sous la peau.
Il existe une large gamme de préparations à base d'insuline afin de permettre un traitement individuel et adapté à votre diabète.
L'insuline est répartie en 3 groupes principaux :
• L'insuline rapide agit très rapidement et uniquement pendant une courte période. Agissant principalement sur les glycémies postprandiales, elle est prise en association avec les repas.
• L'insuline basale agit au bout d'un certain temps seulement. Elle permet de couvrir les besoins fondamentaux du corps en insuline, qu’on appelle le taux basal et permet ainsi de réduire principalement la glycémie à jeun.
• Les insulines mixtes sont des mélanges fixes d'insulines rapides et d'insulines à effet retard.
Les différences prépondérantes entre les insulines sont la rapidité du passage de l'insuline dans le sang et la quantité d'insuline administrée. Lisez toujours la notice jointe à l'insuline.
Les combinaisons fixes d’insuline basale et de GLP-1
Il est également possible d’associer un traitement à base d’insuline basale avec un traitement à base de GLP-1 RA. Il existe pour cela des combinaisons fixes permettant, en une seule injection quotidienne, de combiner ces deux traitements.
Les combinaisons disponibles combinent l’effet de l’insuline basale avec celui du GLP-1 RA, qui agit soit sur la glycémie à jeun, soit sur la glycémie postprandiale.